Selon une étude rapportée par Reuters, 6% de la population adulte américaine (en grande majorité des hommes) serait tentée par l’achat d’une Apple Watch dès cette année, ce qui reporté à l’ensemble de la population états-unienne représente tout de même près de 15 millions d’individus, et donc autant de ventes probables pour Apple (le panel représentatif de l’étude est composé de 1800 personnes).

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Dans le détail, le portrait robot type de l’acheteur d’Apple Watch est un homme, plutôt jeune : ainsi, 9% des hommes veulent la montre, contre 4% seulement des femmes tandis que c’est dans la tranche des trentenaires que l’on trouve le plus d’acheteurs potentiels, 13% des 30-40 ans déclarant vouloir une Apple Watch. Chez les possesseurs d’iPhone, la proportion monte encore, à 15% d’intention d’achat, ce qui signifie que beaucoup d’acheteurs potentiels n’ont en fait pas d’iPhone, ce qui pourrait indiquer que l’Apple Watch a aussi le potentiel pour être un vecteur de switch vers..l’iPhone.

La première motivation d’achat ? Le « cool factor » de l’appareil (qui est la réponse de 52% du panel), ce qui aurait sans doute bien plu à un certain … Steve Jobs, qui disait à qui voulait l’entendre qu’il désirait vendre les produits les plus « cool » du marché.