Apple intègre la nouvelle « Tech Force » mise sur pied par la Maison Blanche
La Maison-Blanche vient d’officialiser le lancement d’une initiative ambitieuse baptisée « Tech Force », destinée à renforcer les capacités technologiques de l’administration fédérale américaine. Et parmi les entreprises partenaires figure Apple, aux côtés de nombreux poids lourds du numérique et du cloud.
Un corps d’élite pour moderniser l’État
Le programme prévoit le recrutement d’environ 1 000 spécialistes technologiques appelés à rejoindre différentes agences fédérales pour des missions de deux ans. L’objectif est clair : accélérer le déploiement de l’intelligence artificielle, moderniser les systèmes existants et répondre aux défis technologiques les plus critiques du secteur public.

Donald Trump serrant la main de Tim Cook au mois d’août de cette année
Cette « Tech Force » s’appuiera en outre sur une organisation centralisée, tout en servant de vivier de talents pour l’administration après la fin des missions. Les profils recherchés couvrent un large spectre, allant du développement logiciel à la cybersécurité en passant par la data, l’IA et la gestion de projets techniques.
Apple parmi les partenaires stratégiques
Apple apparaît dans la liste des entreprises participant au programme, aux côtés de poids lourds de la tech américaine comme Microsoft, Google, Nvidia, OpenAI ou bien encore Amazon Web Services. Si Cupertino n’a pas encore détaillé l’ampleur de son engagement, sa présence confirme l’intérêt croissant des géants de la tech pour les enjeux publics.
Présentée comme strictement non partisane, l’initiative met en avant un service rendu à l’intérêt général. Les spécialistes sélectionnés bénéficieront d’une rémunération annuelle comprise entre 150 000 et 200 000 dollars, avantages inclus. À l’issue de leur mission, ils pourront poursuivre une carrière dans le secteur public ou réintégrer le privé.

Une ouverture à la chinoise ou tout est centralisé, donc facilement contrôlable ?
Oui oui, et bien entendu avec l’officialisation imminente des backdoors qui permettront à l’administration l’accès à toutes vos données et vos archives. Et une fois de plus Tim Cook baisse pavillon (pour ne pas dire pire) devant l’autocrate orange, après avoir accepté tous les diktats du concurrent asiatique. Déception renouvelée et colère croissante.